La demande de rupture conventionnelle peut réserver bien des surprises. C’est pourquoi il faut prendre en compte plusieurs éléments. C’est un moment important dans la vie d’un salarié : celui-ci souhaite quitter l’entreprise où il est, et veut négocier son départ de la meilleure des manières possibles. Pour ce faire, des erreurs ne doivent pas être commises, au risque d’être très déçu.
Préférer l’oral à l’écrit
Pour réussir à obtenir l’accord de l’employeur, il est nécessaire d’être malin et rusé. Pourquoi ? Pour l’employeur, si vous souhaitez quitter l’entreprise, vous démissionnez. Mais vous renoncez, dans le même cas, aux allocations du chômage et du Pôle Emploi. La rupture conventionnelle, pour rappel, permet de quitter une société tout en touchant le chômage. Pour augmenter vos chances d’avoir un entretien, demandez-lui oralement un entretien. Au cours de cet entretien, tout en utilisant des mots réfléchis, faites-lui part de votre souhait de vouloir quitter la société.
L’employeur peut refuser légalement
Un employeur n’est pas obligé d’accepter la rupture conventionnelle. Que ce soit pour l’employeur ou pour le salarié, aucun des deux ne doit imposer une rupture conventionnelle à l’autre.
Il est déconseillé de demander une rupture conventionnelle par mail ou par écrit. Cela peut se retourner contre le salarié avec l’absence de vice du consentement.
4 étapes pour bien négocier sa rupture conventionnelle
Pour avoir toutes les chances d’avoir sa rupture conventionnelle acceptée, voici 4 étapes que nous partageons avec vous :
- Il faut effectuer une bonne préparation à l’entretien. Après avoir défini la date idéale de fin de contrat, vous allez devoir vous mettre en quête d’éventuelles questions que l’employeur peut vous poser. Plutôt que de trouver des éléments de réponse précis, évoquez le mal-être dans lequel vous vous trouvez et quels sont les aspects négatifs du travail que vous effectuez chaque jour.
- Rester cordiaux et ne faire aucun reproche à l’employeur. Il pourrait vous dire “puisque c’est ainsi, pourquoi ne démissionnez-vous pas ?”. Autre cas de figure possible, celui de trouver une solution avec ledit collaborateur avec lesquels ça bloque.
- Expliquez pourquoi, votre démotivation professionnelle peut être un frein, tant pour vous que pour l’employeur. Il va comprendre l’intérêt commun qu’il a à accepter une rupture conventionnelle. Par la suite, évoquez les différentes conséquences financières que cela va avoir.
- Pour montrer votre dévouement jusqu’au bout, précisez bien qui a les capacités de reprendre le poste que vous occupez, selon vous.
Ces quatre étapes sont des conseils précieux. Ils sont efficaces dans le cadre d’une rupture conventionnelle. Ce n’est pas un moment agréable, bien que le sentiment de liberté soit présent pour beaucoup de personnes.
Et si vous adoptiez le statut d’indépendant ?
- La création d’entreprise est à la disposition de tous les anciens employés qui peuvent être accompagnés pour le développement de la structure.
- Si vous êtes hermétique à toutes les démarches, le domaine de la téléprospection est très intéressant grâce à JobPhoning qui simplifie votre existence.
- Vous devez également indépendant en étant par exemple téléprospecteur.
Vous appliquez les tarifs que vous souhaitez et surtout vous progressez à votre rythme. Vous n’aurez plus des contraintes insupportables en provenance de la direction qui avaient tendance à vous stresser. Les indépendants ont donc à leur disposition une place de marché sécurisée qui s’occupe de toute la relation avec leurs futurs clients. En parallèle, les entreprises ont également un réel intérêt à travailler avec cette plateforme de téléprospection, car elle permet de développer la clientèle en sous-traitant la prospection.
Avec ce format, tous les profils sont satisfaits et vous n’aurez plus de rupture conventionnelle à rédiger puisque vous évoluerez à votre compte et votre vie pourrait réellement changer du jour au lendemain.